La kinésiologie est une discipline qui étudie le mouvement hu

main et son lien avec la santé et le bien-être. Elle combine des principes de biomécanique, d'anatomie, de physiologie, et de psychologie pour comprendre et traiter les déséquilibres dans le corps.

 

 

La Kinésiologie holistique : Elle repose sur l'idée que le corps et l'esprit sont liés, et que des blocages émotionnels ou énergétiques peuvent se manifester par des tensions ou des problèmes physiques. 

Nous utilisons  des tests musculaires pour identifier ces blocages et travailler ensuite sur des techniques de relaxation, des exercices de respiration ou des rééquilibrages énergétiques pour restaurer l'équilibre global du patient .

Avis patients 

Lily D

⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️

“ La Kinésiologie m’a permis de dissoudre des problèmes d’ordre physiques et émotionnels, qui était liés comme des douleurs chroniques, de la fatigue et de l’irritabilité, j’ai retrouvé ma motivation et de la sérénité dans mon quotidien” 

 

Paul R

⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️

“ après une période très compliquée personnelle et professionnelle, la Kinésiologie m’a permis de sortir de mon burnout pour retrouver l’envie de faire les choses et la confiance en moi”

La kinésiologie est donc une approche globale qui peut être utilisée pour améliorer la santé physique, émotionnelle et Voici comment se déroule une séance typique, particulièrement dans le cadre de la kinésiologie holistique :

 

 

 1. Accueil et entretien initial 

La séance commence par un entretien , où le patient  expose ses problèmatiques, objectifs , ou  attentes  (physiques, émotionnels, ou même relationnels). Cet échange a pour but de chercher à comprendre les raisons de la consultation, qu'il s'agisse de douleurs physiques, de stress, de fatigue, ou de blocages émotionnels.

 

 2. Test musculaire

Le test musculaire est l’outil principal en kinésiologie holistique. Il consiste à exercer une légère pression sur un muscle, souvent le bras, pour observer sa réponse (résistance ou faiblesse) face à des stimuli variés. Selon la théorie de la kinésiologie, la force ou la faiblesse du muscle permet de détecter des déséquilibres énergétiques, émotionnels ou physiques dans le corps. Le corps  « répond » à ce test en montrant où se trouvent les blocages.

 

 3. Identification des déséquilibres

Grâce au test musculaire, nous identifions les zones du corps qui présentent des tensions, des déséquilibres énergétiques ou des blocages émotionnels. Ces informations aident à cerner les causes sous-jacentes des symptômes.

 

4. Techniques de rééquilibrage

Une fois les déséquilibres identifiés, nous  utilisons diverses techniques pour restaurer l’équilibre. Ces méthodes peuvent inclure :

   - Stimulation de points réflexesou méridiens issus de la médecine chinoise.

   - Techniques de respiration ou de relaxation.

   - Mouvements spécifiques pour rétablir la mobilité.

   - Visualisations mentales ou libération des émotions .

 

 5. Réévaluation

Après les corrections, nous refaisons un test musculaire pour vérifier si l’équilibre a été restauré. Avec un certain nombre de questions, nous évaluation votre ressenti, vos questions, votre état global, votre énergie face a la problématique à traiter

 

6. Conseils et suivi

À la fin de la séance, je peux vous donner des conseils personnalisés sur des exercices, des pratiques de relaxation ou des ajustements à faire dans la vie quotidienne pour maintenir l’équilibre retrouvé. Il est possible que plusieurs séances soient nécessaires selon la complexité des problèmes à traiter.

 

Durée d'une séance

Une séance dure entre 45 minutes et 1 heure.

Tarif 80€ 

 

En résumé, une séance de kinésiologie combine évaluation physique, émotionnelle et énergétique pour identifier et traiter des déséquilibres, avec une approche personnalisée et non invasive.

 

La kinésiologie a été inventée par des chiropracteurs américainLa chiropractie est elle-même dérivée d’une autre pratique, l’ostéopathie (ou technique d’ajustement vertébral), mise en place par le Dr Andrew Taylor Still à la fin du XIXe siècle. La chiropractie (ou chiropraxie) a été fondée en 1895 par Daniel David Palmer, camarade de Still à l’école d’ostéopathie, aux États-Unis.

Le terme est composé du grec kheir (main) et praktikos (mis en action). Palmer en donne la définition suivante en 1910 : « Science étudiant la cause de la maladie et l’art d’ajuster à la main toute subluxation des trois cents articulations du squelette humain, plus spécialement les articulations de la colonne vertébrale, dont l’effet est de libérer les nerfs “coincés” lorsqu’ils passent au travers du trou intervertébral, entraînant une fonction anormale appelée “maladie”

 

À l’origine, Palmer était magnétiseur ; il s’intéressa très tôt à la causalité des déséquilibres. Il souhaitait « savoir pourquoi une personne tombait malade tandis que son associé, mangeant à la même table, travaillant dans la même boutique, sur le même banc, ne l’était pas ». Sa première expérience, en 1885, aurait ainsi cherché à établir le lien entre la cause immédiate et la surdité dont souffrait un homme depuis 17 ans :

«Je m’enquis des circonstances de sa surdité et fus informé que celle-ci était survenue immédiatement après avoir senti quelque chose se déplacer dans son dos alors qu’il travaillait dans une position courbée, gênante. Un examen montra une vertèbre déplacée. Je raisonnai ainsi : si cette vertèbre était remise en place, l’ouïe de l’homme serait rétablie. Je la replaçais en utilisant l’apophyse épineuse comme levier, et bientôt, l’homme put entendre comme auparavant. » Son expérience fut donc un succès.

En 1930, un ostéopathe, le Dr Frank Chapman, développa le système réflexe neuro-lymphatique, qui se retrouve sur les faces antérieures et postérieures du corps. Un collègue chiropracteur, Terence Bennet, mettra ainsi en place la correspondance des points neuro-vasculaires localisés en majorité sur la tête.

Peu de temps après, le Dr R.W. Lovett, un orthopédiste de Boston spécialiste de la polio, inventa une méthode de test musculaire pour évaluer les forces des muscles. La définition originelle de la chiropractie (donnée par Palmer) a donc évolué vers « la recherche de l’origine des maux et des solutions grâce à des techniques réflexes reliant le corps à d’autres fonctions ».

Dans les années soixante, George Goodheart, chiropracteur, combina cette méthode thérapeutique avec les principes de la médecine chinoise et inventa ainsi la kinésiologie appliquée ; elle s’adressait aux professionnels de santé. Il s’inspira des travaux de Chapman, Bennett et Lovett pour instaurer le célèbre test musculaire (tel que pratiqué aujourd’hui) au début de chaque séance de kinésiologie.

En partant du travail de Goodheart, de multiples développements de la méthode ont vu ensuite le jour. Le plus notable (et le premier) est attribué à John Thie, qui simplifie la méthode de Goodheart et crée la technique du Touch for Health en 1973, titre de son livre publié sur le sujet en 1977.

En effet, c’est lui qui proposa des techniques simples et efficaces à usage familial afin que l’approche se communique au plus grand nombre. Le Touch for Health est considéré comme la base essentielle de la pratique de toutes les kinésiologies, partout dans le monde.

Depuis les années soixante-dix, et jusqu’à nos jours, de nombreuses autres kinésiologies se sont développées, toutes basées sur l’approche de Thie (le Touch for Health). En 1970, Paul Dennisson, spécialiste du développement cognitif, étudiait les causes des difficultés d’apprentissage, dans le cadre de son doctorat.

En collaboration avec son épouse, il proposa de résoudre ces difficultés grâce à des programmes appelés «Brain Gym» et Édu-kinésiologie. De nos jours, cette dernière technique, appelée «Éducation kinesthésique», est pratiquée dans plus de quatre-vingts pays. Parallèlement et toujours dans les années soixante-dix, trois Américains (Gordon Stokes, Candace Callaway et Daniel Whiteside) créèrent un concept original appelé « Three in One Concepts » (ou One Brain).

La kinésiologie connut un essor remarquable sur le plan mondial, dans les années quatre-vingt. À cette époque, des médecins et scientifiques développèrent toutes sortes de méthodes en profitant des découvertes menées en physique, en neurologie et en biologie. Citons, par exemple, le Biocomputer du Dr Alan Beardall, le Wellness Kinesiology du Dr Wayne Topping, l’Applied Physiology (la physiologie appliquée) de Richard Utt, la Kinésiologie harmonique de Jean-Pierre Bourguet, et l’Adaptogénèse de Francis Vieules.

 

une formation médicale – et les kinésiologies dites « spécialisées », qui sont accessibles à tous. Elles regroupent la kinésiologie énergétique et de multiples techniques, comme le Touch for Health, l’Éducation kinesthésique, le Brain Gym, l’Adaptogénèse, et bien d’autres développées ces dernières années.

La kinésiologie n’est ni un médicament ni un traitement. Elle n’établit pas de diagnostic ne propose pas de prescription médicale, ni d’interruption de traitement, car seuls les professionnels de santé sont légalement habilités à le faire. La kinésiologie ne permet pas de résoudre des problèmes de santé majeurs, comme des maladies ou des troubles fonctionnels graves. Elle propose des solutions pour des maux secondaires et intervient surtout pour développer et retrouver le bien-être.

 

Concrètement, l’approche kinésiologique comprend un dialogue pour évaluer et équilibrer énergétiquement la posture du corps, un test musculaire et des touchers réflexes applicables à tous, même sans formation médicale. 

 

 

 

Qu’est-ce que la kinésiologie ?

 

Le terme kinésiologie vient du grec kinesis (mouvement) et logos (discours, science). Cette « science du mouvement » n’est pas considérée comme une médecine alternative, mais plutôt comme une pratique complémentaire de santé. Basée sur les principes de la médecine chinoise, elle consiste en un rééquilibrage psychocorporel dans le but de trouver l’harmonie et le bien-être sur les plans physique, mental et psycho-émotionnel.

La kinésiologie repose sur l’organisation énergétique du corps incluant les méridiens de l’acupuncture. Sa pratique s’appuie sur un test musculaire réalisé en début de séance pour détecter le fonctionnement énergétique de la personne, identifier ses déséquilibres et l’aider à retrouver son potentiel.

La kinésiologie part du principe que l’interaction entre le corps, le mental et les émotions se produit dans les muscles. Et comme les méridiens constituent un système énergétique électromagnétique, ils permettent de travailler sur cette interaction corps et mental, ou corps physique et corps énergétique.

Le but premier de la kinésiologie est de redonner à la personne sa capacité naturelle d’auto- guérison. La position du kinésiologue est davantage celle d’un pédagogue partageant ses connaissances plutôt que celle d’un médecin, d’un guérisseur ou d’un gourou qui détiendrait une certaine vérité et serait responsable de la santé d’autrui.

La kinésiologie n’est pas la chiropractie ou l’ostéopathie, car elle repose sur les principes de base de la médecine énergétique chinoise et sur les méridiens. Profondément minimalistes, ses techniques sont si simples qu’elles peuvent dérouter, de prime abord. À vous de constater leur efficacité, comme l’ont fait des centaines de milliers de personnes dans le monde avant vous.

Il convient de distinguer la kinésiologie médicale dite « appliquée » – pratiquée par les professionnels de santé ayant une formation médicale – et les kinésiologies dites « spécialisées », qui sont accessibles à tous. Elles regroupent la kinésiologie énergétique et de multiples techniques, comme le Touch for Health, l’Éducation kinesthésique, le Brain Gym, l’Adaptogénèse, et bien d’autres développées ces dernières années.

La kinésiologie n’est ni un médicament ni un traitement. Elle n’établit pas de diagnostic ne propose pas de prescription médicale, ni d’interruption de traitement, car seuls les professionnels de santé sont légalement habilités à le faire. La kinésiologie ne permet pas de résoudre des problèmes de santé majeurs, comme des maladies ou des troubles fonctionnels graves. Elle propose des solutions pour des maux secondaires et intervient surtout pour développer et retrouver le bien-être.

 

Concrètement, l’approche kinésiologique comprend un dialogue pour évaluer et équilibrer énergétiquement la posture du corps, un test musculaire et des touchers réflexes applicables à tous, même sans formation médicale. 

 

 

 

 

Les objectifs des techniques de kinésiologie et du Touch for Health sont les suivants :

• Augmenter la vitalité de chacun ;
• Découvrir sa raison d’être, le but de sa propre existence ;
• Bénéficier d’une performance optimale constante ;
• Renforcer l’auto-guérison du corps ;

    

 Mais avant tout, cette approche encourage le toucher mutuel sain. À cause du développement des outils de connexion à distance, le toucher a perdu sa dimension essentielle dans notre société, celle de l’interaction humaine. Pourtant, il est nécessaire d’entrer en contact physiquement avec l’autre ; des études diverses l’ont démontré, notamment durant les premières heures et jours de vie des nourrissons.

Le contact « peau à peau » avec la mère et le père (ou une autre personne servant de référent affectif) est une clé du développement physique, neurologique et émotionnel de l’enfant. L’haptonomie (autre technique du toucher affectif) va dans ce sens d’une relation tactile avec les autres, dès les prémices de vie du fœtus.

 

Pour en revenir à la kinésiologie, la manière de toucher l’autre est non intrusive, mais accueillante envers l’autre ; elle lui permet de s’exprimer et d’être lui-même libre de ses mouvements et de ses décisions. Ce contact physique est semblable à la présence d’un papillon. « Nul homme n’est une île » écrivait le poète John Donne.